Wednesday, March 10, 2010

5 mille femmes meurent dans le monde par des crimes d'honneur commis par des parents

Cinq mille femmes meurent chaque année par les soi-disant crimes d'honneur commis par les propres familiers, les ainsi l'a informé Navi Pillay, la titulaire du Bureau de Haute le Mandataire de Nations Unies pour les Droits de l'homme (ACNUDH). Cette femme importante de nationalité sud-africaine a dit hormis que “Au nom de L'honneur de la famille, de femmes et de petites filles elles meurent fusillées, lapidées, brûlées, étranglées, enterrées vis, asphyxiées ou poignardées à un rythme épouvantable”.

Mis en rapport dans mon blog :
En Turquie une petite fille enterrée de 16 ans vive pour avoir des amis. Un père et un grand-père sont pris
Un février 07, 2010

High Commissioner speaks out against domestic violence and “honour killing” on occasion of International Women’s Day”

Following is the statement by the United Nations High Commissioner for Human Rights, Navi Pillay, on the occasion of International Women’s Day, which is commemorated on 8 March 2010 :

“It il y as been estimated that un as many un as one in three women across the world tu as been beaten, raped or otherwise abused during the course of her lifetime. And the most common source of such violence tu manges from within the family. Amongst the most pousse à l'extrême forms of un as abuse is what is known ‘honour killing’.

Most of the 5,000 honour killings reported to take plaît every year around the world do not make the news, nor do the other myriad forms of violence inflicted on women and girls by husbands, fathers, sons, brothers, uncles and other male – and sometimes even female – family members.

In the un igname of preserving family ‘honour,’ women and girls laboure shot, stoned, burned, buried alive, strangled, smothered and knifed to death with horrifying regularity.

The reasons for these murders vary. They un mai be committed because the victim is considered to have breached family or community norms with respect to conduct sexuel, or simply because à woman as expressed à desire to pick à husband of her own choice, or wishes to divorce or claim inheritance. Most perversely, une baudroie victims laboure sometimes viewed un as having ‘dishonored’ their families and labourez killed by them un as à means of erasing the stigma, while the men who raped them often une fuite lightly.

The problem is exacerbated by the fact that in à number of countries domestic systems légal, including through discriminatory laws, still fully or partially exempt individuals guilty of un honneur killings from punishment. Perpetrators un mai even be treated with admiration and given special un statut social within their communities.

Honour killings laboure, however, not something that un chien be simply brushed aside un as some bizarre and retrograde atrocity that happens somewhere else. They laboure an poussez à l'extrême symptom of discrimination against women, which – including other forms of domestic violence – is à plague that affects every un country.

For many women and girls, the family life that is supposed to be productive, protective and harmonious is little demeure than à myth. Instead, for such females, family life means physical, sexuel, emotional or economic violence at the hands of an intime-toi partner or other family members. Domestic violence typically involves punches, kicks and slaps, or assaults with objects or weapons. It also frequently involves persistent belittlement and humiliation, and often includes the isolation of women from traditional supporters such un as other family members and friends. Sometimes it un mai involve forced participation in degrading acts sexuel, baudroie and homicide. Some women, who resist an arranged marriage, laboure locked up by their families for long periods until their will is broken and they agree to marry the man who tu as been chosen for them.

It is often argued that economic independence and empowerment of women in général laboure the best way to combat domestic violence – and rightly so. The main reason cited by women for not leaving abusive relationships remains the lack of financial autonomy and access to à safe home.

However, too beaucoup reliance on these solutions disguises the depth and complexity of the problem : domestic violence il y as also been on the rise in countries where women have achieved un degree of economic independence considérable. Successful business-women, and female parliamentarians, lawyers, doctors, journalists and academics have all been known to lead double-lives – applauded in public and abused in prive-toi.

The reality for most victims, including victims of un honneur killings, is that state institutions fail them and that most perpetrators of domestic violence un chien rely on à culture of impunity for the acts they commit – acts which would often be considered un as crimes, and be punished un as such, if they were committed against strangers.

Traditionally, there il y as been some un débat around the issue of state responsibility for acts committed in the prive-toi sphere. Some have argued, and continuez to argue, that family violence is plaisez outside the framework of international human rights conceptuel. However, under international laws and standards, there is à clear State responsibility to uphold women’s rights and ensure freedom from discrimination, which includes the responsibility to prevent, protect and provide redress – regardless of sex, and regardless of à person’s un statut social in the family.”

Learn demeure about the UN High Commissioner for Human Rights, Navi Pillay : http://www.ohchr.org/EN/AboutUs/Pages/HighCommissioner.aspx

Click here to visit OHCHR website : http://www.ohchr.org

See the Convention on the Elimination of All Forms of Discrimination against Women :
http://www2.ohchr.org/english/law/cedaw.htm

Office of the High Commissioner for Human Rights – Bas Unit
Rupert Colville, Spokesperson : + 41 22 917 9767 / rcolville@ohchr.org
Xabier Celaya, Information Officer : + 41 22 917 9383 / xcelaya@ohchr.org
__________

Un vidéo Ils Crient par une hauteur les feminicidios dans À

Important voir le vidéo parce qu'il fait quelques références
sur les feminicidios dans différents pays.

Une Association civile, des organisations féministes de l'Amérique centrale et du Mexique ont lancé une campagne régionale par l'accès à la justice pour les femmes

NOTIMEX
L'Universel
Genève le Jeudi 04 mars de 2010

La titulaire du Bureau de Haute le Mandataire de Nations Unies pour les Droits de l'homme (ACNUDH), Navi Pillay, a dénoncé aujourd'hui qu'environ cinq mille femmes meurent chaque année des victimes de ‘des crimes d'honneur’ commis par ses propres parents.

La plainte a été lancée aujourd'hui par Pillay, qui s'est abstenu de mentionner les pays spécifiques où règne cette situation, dans le cadre du Jour International de la Femme, qui est commémorée le 8 mars.

‘La majorité de ces crimes ne sont pas une nouvelle et non plus myriade de délits perpétrés contre des petites filles et des femmes par ses époux, parents, frères, oncles ou d'autres parents et même parfois par d'autres femmes de la famille’, a remarqué Pillay dans un communiqué.

Conformément à la fonctionnaire, on estime que l'une de trois femmes a été frappée, abusée ou violée dans tout le monde en cours de sa vie, en étant les cas les plus extrêmes les soi-disant ‘crimes d'honneur’.

‘Au nom de l'honneur de la famille, de femmes et de petites filles elles meurent fusillées, lapidées, brûlées, étranglées, enterrées vis, asphyxiées ou poignardées à un rythme épouvantable’, il a alerté Pillay.

Les raisons de ces crimes varient, il a dit et il a mentionné le fait qu'il est considéré que la victime a transpercé les normes de la famille ou de son groupe social; parce qu'il a exprimé son désir de choisir elle même son mari; il veut divorcer ou clame une hérédité.

‘Le plus pervers consiste en ce que les femmes qui ont été violées sont considérées un déshonneur pour la famille, qui à son tour les exécute pour gommer ce stigmate, tandis que l'homme qui les a violées s'échappe facilement’, il a souligné Pillay.

‘Les crimes d'honneur ne sont pas quelque chose que l'on peut gommer et laisser à côté comme une atrocité rétrograde qui passe dans une autre partie’, a-t-il dit.

La discrimination et la violence domestique est ‘un fléau qu'il touche tous les pays’, a-t-il ajouté.
Pour beaucoup de femmes, il a indiqué, cela de vivre dans une famille harmonieuse et protectrice est peu plus qu'un mythe, puisque au contraire, la vie familière implique une violence sexuelle, physique, émotive ou économique à des mains de sa paire ou d'autres parents.

Une partie de ce qui s'appelle violence domestique inclut des coups, des coups de pied, cachetadas, tu menaces avec armes à feu ou punzocortantes.

De la même manière, des humiliations continues, une participation forcée dans des actes sexuels dégradants, des violations et un homicide, il a regretté.

La Haute Commissionnée de l'ONU a détaché le débat croissant sur l'indépendance économique et l'obtention de pouvoir de la femme comme mesures pour combattre la violence domestique.

Il a reconnu, cependant, que ces solutions distraient sur la profondeur et la complexité du problème, puisque la violence domestique a augmenté dans les pays dans lesquels la femme a obtenu un certain degré d'indépendance économique.

Beaucoup de femmes d'affaire heureuses, des parlementaires, des avocates, des docteurs, des journalistes et des académiciennes vivent ‘de doubles vies dans celles qui sont applaudies en public et abusées en privé’, a-t-il indiqué.

Le problème s'aggrave parce que de plus dans quelques pays, ‘les systèmes juridiques exonèrent partiel ou totalement aux coupables’, il a précisé.

Pillay a rappelé que conformément à des normes internationales il est de devoir et une responsabilité de l'État de défendre les droits de la femme et de garantir la non discrimination.
Après avoir battu

Les autres Relatifs :
“La Lapidation de
des femmes aux pays islamiques”

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