Chávez au Cordonnier : “nous n'avons rien à t'expliquer, un parrain” (un juge a Marié une audience espagnole)

Hugo Chávez dans une chaîne obligatoire de tous les moyens de télévision et de rayon s'est adressé dans ces termes au président du gouvernement espagnol, Rodriguez Zapatero, et a exigé “le respect“, qui “voit bien ce qu'il va dire”. Que “nous n'avons rien à t'expliquer, un parrain”. En ce qui concerne le chancelier Moratinos, il a dit qu'ils étaient amis, que quand ils ont parlé par téléphone Miguel Angel Moratinos ne lui a pas demandé d'explication par lui de l'auto du juge de l'Audience Nationale. Mais plutôt, ce qu'il a fait c'était de se détacher, ou bien, de s'excuser, “parce que le gouvernement ni le roi nous avons à voir dans cela”. Ça alors! Très significatif le du chancelier espagnol. Cela en fonction de ce que j'écoute, et ensuite comme on a décrit de lui. J'actualise déjà 5:50 ils peuvent l'écouter dans un vidéo de Libertad Digital. J'actualise le 6 mars : Le Gouvernement rachète Chávez avec un communiqué conjoint contre ETA et dans un vidéo Chávez il dit qu'ils ne lui ont pas demandé “d'explications“ mais “des informations, c'est une autre chose”. Ah, de plus, il loue la "maturité" de Cordonnier. Nous verrons si à un questionnaire il donnera les réponses opportunes.

Un vidéo voie LD

Hugo Chávez a fait comprendre qu'il ne pense pas donner aucune explication de l'auto qui révèle que son Gouvernement a coopéré avec ETA. Il qualifie “d'une très grande invective” la réaction faible de Cordonnier, qui s'est déclaré “à l'attente”. Et voilà qu'il dit que Moratinos n'a pas réclamé d'éclaircissements.
Un vidéo voie Libertad Digital

Mis en rapport dans mon blog
Un régime de Chávez qualifie d'une accusation de liens d'"infâme" avec ETA de la part d'un juge AN espagnol
Un mars 01, 2010

Chávez dément le Cordonnier et assure que Moratinos lui a demandé des explications ni a que darsélas à personne
Le mandataire vénézuélien anime le Gouvernement espagnol et le Roi à se mettre “l'oeil à son pouvoir judiciaire”
Chávez a raconté que, en étant au Montevideo, le chancelier vénézuélien, Nicolás Maduro, a reçu un appel de Moratinos pour parler du procédé ouvert par le juge Velasco, et comme il a coïncidé que dans ce moment il était près, il lui a passé le téléphone pour qu'il parlât directement au chancelier espagnol. Le président vénézuélien a assuré que Moratinos en aucun moment lui a demandé des explications et plutôt il l'a éclairci, il a dit, que tout découlait d'un comportement autonome d'un juge après lequel n'étaient pas le Gouvernement espagnol et le Roi de l'Espagne.
Le “jeu de la droite extrême européenne”
Chávez a expliqué qu'il s'est senti "surpris" après avoir appris, après cette conversation, que le Cordonnier, “dans une très légère attitude”, avait déclaré qui lui demandait des explications la Venezuela de l'accusation de Velasco. “Un cher ami José Luis Rodríguez Zapatero, je n'ai rien que, vous lui expliquer et je lui exige que j'ai respecté la souveraineté du peuple et du Gouvernement vénézuélien”, a dit Chávez.
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SUR LA COLLABORATION DE SON GOUVERNEMENT AVEC ETA
Chávez, au Cordonnier : s'il veut les explications qu'elles sont demandées à Moratinos
Hugo Chávez a fini de faire comprendre qu'il ne pense pas donner aucune explication de l'auto qui révélait que son Gouvernement a coopéré avec ETA. Après la réaction tiède du Gouvernement espagnol, qui suit “à l'attente”, il a répondu au Cordonnier qui est avec celui qui doit parler avec … Moratinos.
Plus … dans Libertad Digital

Chávez a assuré qu'il n'a rien à expliquer à Rodríguez Zapatero sur un cas ETA-FARC
AAS
Globovisión
03/03/2010 04:32:36 p.m.

Le président Hugo Chávez a qualifié de “téméraire et irresponsable” accusation de juge espagnol sur la coopération de la Venezuela avec groupes d'ETA et des FARC.

Il a exprimé qu'il n'a rien à expliquer au président espagnol, José Luis Rodríguez Zapatero, qui a exigé une réponse de sa part sur le cas.

“Je veux m'expliquer ésto, pour que chaque qui assume le sien. J'ai parlé au chancelier espagnol Moratinos, pour éclaircir le président espagnol José Luis Rodríguez Zapatero, que je n'ai rien à expliquer. Si vous voulez (un Cordonnier) demandez-lui l'explication son juge. Je n'ai rien que, lui expliquer vous et à personne sur cette planète,”, a indiqué Chávez.

Il a appelé le gouvernement espagnol d'inspecter son pouvoir judiciaire. “Ce que le Cordonnier devrait faire est de lui mettre l'oeil au pouvoir judiciaire qu'ils ont là-bas”, il a condamné.

Une vaccination

Le Président de la République, Hugo Chávez, trouve dans le secteur Le Vega du District Capital où il a donné inico, dans une chaîne nationale, sur les actions de reimpulsion du Programme Agrandi d'Immunisations.

On l'a appliqué aux enfants du secteur, de 10 vaccins pour combattre 14 maladies.

À son arrivée Au Vega, le chef d'État a été reçu par Luis Reyes Reyes, ministre du Pouvoir Populaire pour la Santé; la colonelle Eugenia Sader, un viceministre de Réseaux de Santé Collective; Iván Gil, vice-ministre de Réseaux de Services de santé, pour commencer un parcours par le secteur.

Le Président s'est déplacé au Centre de Diagnostic Intégral (CDI) “Père Francisco Wuytack”, où il a placé, symboliquement, les gouttelettes de vaccination à quelques enfants de la zone.

Ce programme, il fera du bien à peu près environ 6 des millions de familles vénézuéliennes, a informé le Président Chávez.

“Nous faisons une santé préventive, c'est un blindage à la population vénézuélienne. Nous allons visiter même 6 millions de familles, nous vaccinerons des millions de personnes, d'enfants et d'adultes”, a-t-il dit.

Un sauvetage de logements

Pendant l'acte, le Président a demandé au ministre de Travaux publics et de Logement, de Diosdado Cabello la construction d'un campement de logement dans le secteur. Il a indiqué le maire Jorge Rodríguez, être pendant de sauver “des terrains oisifs” et il a remarqué que “dans la Panaméricaine il y a beaucoup un terrain valdío”.

“Un terrain oisif faut le saisir, Jorge (Rodríguez)”. Il a soutenu qu'il est cherché il est de rearranger le quartier à travers de la mission, “l'un Nouveau Quartier, un Quartier Tricolore”.

Il a signalé l'importance d'avoir des logements dans des terrains fermes, en faisant une référence aux tremblements de terre récents de l'Haïti et du Chili.

“Quel Dieu nous dispense d'un tremblement de terre!. Voyez ce qu'il a passé en Haïti et la tragédie du peuple chilien, il faut fortifier les logements et nous protéger des surprises que la nature nous donne”, a signalé Chávez.

Chávez : Je n'ai rien que, lui expliquer le Cordonnier, j'ai respecté notre souveraineté

03 mars 2010 | 03:27 pm – Ángela Rodríguez – ABN
Pris par Le Garde national

[Chávez : Je n'ai rien que, lui expliquer le Cordonnier, j'ai respecté notre souveraineté]
Hugo Chávez dans un plein discours | la Courtoisie Miraflores

Le président Hugo Chávez, depuis le secteur Les Maisonnettes, placé dans Les Manches Du Vega a annoncé - dans un chaîne de radio et de télévision - la reimpulsion du Programme Agrandi d'immunisations, dans lequel s'appliqueront des vaccins à des enfants de divers secteurs.

À son arrivée, il a été reçu par le ministre pour la Santé, Luis Reyes Reyes; le viceministre de Réseaux de Santé Collective, Eugenia Sader; et le vice-ministre de Réseaux de Services de santé, Iván Gil. Tout de suite il a commencé un parcours par le secteur et il a expliqué qu'un recensement d'enfants sera réalisé sans vacciner, et on procédera à placer 10 vaccins qui préviennent 14 maladies.

“L'une des plus grandes responsabilités du Gouvernement est la santé, l'une des manières de mesurer le caractère socialiste de la Révolution est de consolider le système public de santé”, a dit le mandataire, qui s'est déplacé au Centre de Diagnostic Intégral (CDI) le Père Francisco Wuytack, où il place, symboliquement, les gouttelettes de vaccination à quelques enfants de la zone.

Le chef de Gouvernement du District Capital, Jacqueline Faría et le maire du Caracas, Jorge Rogríguez, accompagnent le Mandataire National dans son parcours par le centre médical. Chávez a étendu un chaud il a salué les médecins cubains et vénézuéliens qui travaillent dans la Mission Il a balayé Dedans, il a félicité le ministre de santé, Luis Reyes Reyes et à qui ils composent le Programme d'Immunisations.

D'autre part, le mandataire a annoncé que les “terrains oisifs doivent être récupérés”.

Mets en rapport avec l'Espagne

Dans une matière internationale le président vénézuélien, a assuré qu'il n'a rien à expliquer à son homologue espagnol, José Luis Rodríguez Zapatero, en ce qui concerne les implications présumées du gouvernement vénézuélien avec l'organisation terrorita ETA et les Forces armées Colombiennes (FARC). De plus il l'a prié au Cordonnier qu'il éclaircisse la situation avec le chef de la diplomatie espagnole Miguel Ángel Moratinos, puisque “nous n'avons rien à expliquer à personne, c'est un gouvernement qu'il ne coopère pas avec aucun organe terroriste”, il a assuré Chávez.