Le vigilant, maintenant quand pour plusieurs, spécialement pour la direction une adversaire paraîtra qu'il n'y a pas un autre sujet d'intérêt, mais le fait de voir la forme d'obtenir un curulito dans le Congrès, le certain consiste en ce que, ainsi que des autorités les ont montés et ont laissé sans concurrences dans les gouverneurs et les maires élus par un vote populaire, puisque ce qui est prévu est de la déplacer (à l'Assemblée Nationale) par le “Parlement Commun” pour que les soi-disant communautés puissent approuver les lois. Par un peu Chávez il marche sous l'insistance de ce qu'il signifierait si l'opposition gagnait la majorité des députés à l'AN, parce que se termineraient les réussites de la révolution, qui serait une "catastrophe". Cela on connaît comment préparer le terrain … Sur cela annexe l'information, mis en rapport et un article de Luis Marin très illustrant pour comprendre le “Conseil Fédéral du Gouvernement”, quand est amplement connu le “rejet du régime” de la division des pleins pouvoirs. Marcos Carrillo, mentionne aussi que l'importance due ne lui a pas été donnée.
Mis en rapport dans mon blog
- La décentralisation est morte en Venezuela. Une loi Organique du Conseil Fédéral du Gouvernement
Un février 25, 2010 - “La division de pleins pouvoirs affaiblit l'État”. La sentence de 2009 en Venezuela
Un janvier 04, 2010
L'Assemblée sera déplacée par le “Parlement Commun”
Le chavismo propose que des communautés et des groupes sociaux approuvent les lois
L'AN créera un Registre National d'Organisations Sociales et apprendra les gens à légiférer (Enio Perdomo)
Un contenu relatif
Tandis que tous, chavistas et des adversaires, rêvent d'un curul, est dans une marche un plan pour secouer l'Assemblée Nationale.
Dans son ardeur de détruire le système "bourgeois", l'officialisme cherche d'établir les bases de “l'État commun” qu'un “gouvernement commun” inclut et maintenant un “Parlement Commun”.
Pour relancer le parlamentarismo social de rue, l'AN a tracé une stratégie qui contemple l'établissement du “Parlement Commun”, lequel il définit ainsi : “La plate-forme organisante qui conformément au principe constitutionnel exerce l'acte de normar sa propre communauté, propose des initiatives législatives et exerce une régulation sociale de la gestion publique”.
L'obtention de ce but supporte la création du Registre National d'Organisations Sociales et l'installation “des espaces communautaires pour le débat parlementaire” dans les mille 134 paroisses du pays.
Depuis les bases
À la tête de cet effort se trouve le premier vice-président de l'AN, Darío Vivas. “Nous apprenons le peuple à légiférer avec l'intention de façonner le ‘Parlement Commun’, où la base organisante du peuple, comme les conseils communs et les communautés, ils peuvent élaborer ses propres normes”, explique-t-il Vives.
Le député du PSUV par le Caracas remarque qu'ils citent en exemple le posé par le président Hugo Chávez Frías, qui a dit que les communautés doivent sanctionner ses “lettres communes”. “Ce sont des normes de vie en commun qui sont créées pour la coopération et l'échange social, culturel, politique et économique”, résume aussi un coordonnateur de mobilisation du tolda rouge.
Déplacera-t-il le “Parlement Commun” vers l'AN ? “Il rappelle que la souveraineté réside au peuple, nous sommes dans une démocratie participativa et d'un rôle principal populaire. Nous ne pouvons pas nous ériger comme les représentants de la souveraineté populaire, nous sommes simplement porte-parole de ce peuple”, répond-il Vives.
Le congressiste soutient que “le peuple a la responsabilité de nous dire quelle chose ils veulent que nous réussissons. Ils élaboreront dans ses communautés, dans ses fronts de travail, les propositions de lois qui doivent venir à l'AN”.
Bien qu'il n'y ait pas encore de formule déterminée, Vis il pense que le “Parlement Commun” pourrait “réussir dans la première instance” les textes qui seraient considérés par la suite par la Chambre. “Ici nous allons travailler pour qu'il y ait une instance de décision du peuple en élaborant des lois”, le dirigeant du PSUV condamne.
Pas à pas
Le parlamentarismo social de rue commence cette année en soumettant à une consultation la Loi Organique de Participation et de Pouvoir Populaire, la Loi d'Inspection des Finances Sociale, Loi de Propriété Sociale, la Loi Organique de Planification Publique, la réforme de la Loi d'Économie Populaire et de la Loi pour les Communautés. Avec ce "bloc" d'instruments ils cherchent à pousser la “fortification du pouvoir populaire”.
Dans la Loi Organique de Participation et de Pouvoir Populaire, approuvée dans la première discussion par la Chambre le 16 décembre passé, ils expriment que la communauté “a pour intention le plus grand compromis des citadins dans la planification, l'élaboration du budget et la possibilité de gouvernement des communautés, en permettant au peuple d'exercer le pouvoir dans la forme la plus directe possible”.
Dans un autre document rédigé par l'AN et distribué mercredi dans le cadre du parlamentarismo social de rue, ils pointent que “les communautés populaires et socialistes sont appelées de devenir les nouvelles unités politiques-territoriales pour construire le nouveau tissu social révolutionnaire”.
Dans l'état la Portugaise, le gouverneur Wilmar Castro Soteldo essaie déjà une proposition de “l'État commun”. Le mandataire régional a constitué une centaine “des circuits communs”, l'espèce de groupements de conseils communs qui dessinent des projets productifs, ils administrent des recours et réalisent des travaux politiques, idéologiques et électoraux. “Les adversaires les plus de fer de cela ont été les maires et les membres du Conseil Législatif, tous du PSUV”, a avoué Castro Soteldo le mercredi 24 février dans la Commission de Participation Citadine de l'AN.
L'échafaudage légal que l'État capitaliste permet de supprimer pour imposer dans son lieu l'État "commun" n'a pas été encore levé. Cependant, le chavismo avance et pour cela il pense s'appuyer sur le “Parlement Commun”.
Un dimanche 14 mars
Pierre Pablo Peñaloza
L'UNIVERSEL
Un conseil Fédéral du Gouvernement
Par Luis Marín
Un quotidien de l'Amérique
Il est déjà public et notoire, le rejet du régime de la division des trois pleins pouvoirs publics, qui a été qualifiée comme un affaiblissement du pouvoir de l'exécutif; avec cette loi du Conseil Fédéral du Gouvernement et de son Règlement un homme politique on se jette sur l'autre forme de division (verticale) du pouvoir entre des régions - territoriales autonomes, en faveur du centralisme ouvertement totalitaire.
L'article 185 de la Constitution, du CFG, établit la décentralisation et le transfert de concurrences “du Pouvoir National aux États et de Municipalités”; il ne mentionne même pas aux conseils communs, aux communautés ou à d'autres formes d'organisation de base du “Pouvoir Populaire”.
Au contraire, la Loi Organique du Conseil Fédéral du Gouvernement, mais surtout son Règlement, parle d'une décentralisation et d'un transfert de concurrences des États et de Municipalités aux organisations de base du “Pouvoir Populaire”. Même il parle d'une pleine "restitution" du pouvoir au “Peuple Souverain”, de "restituer" peu à peu la capacité de gouvernement au peuple.
La moindre analyse n'est pas nécessaire pour remarquer qu'a rien à voir la Loi avec ce qu'il dit la Constitution. La jurisprudence du Cour suprême de Justice l'appellerait “fraude constitutionnelle”; mais non la chose unique ni le plus grave.
La loi et son règlement établissent un nouveau rangement territorial, composé d'Axes Stratégiques de Développement et de Districts Moteurs de Développement, pour culminer aux Conseils Communs, des communautés et d'autres formes d'organisation populaire, qui ne sont pas organismes un homme politique territoriales, ni même dans le sens de ces textes.
Mais le réellement alarmante consiste en ce qu'ils attribuent au Président de la République la concurrence pour rectifier ou restructurer l'ordre territorial de la République : par une voie réglementaire!
Ce qui, en plus d'être une auto attribution de concurrences, contredit le disposé dans l'article 236 de la Constitution dans laquelle sont fixées les attributions du Président de la République, qui ne contemple pas celle de rectifier ou restructurer l'ordre territorial. Ou bien qui pose un conflit entre le 5e article d'un Règlement simple avec l'article 16 de la Constitution, qui dit quelle est la division du territoire national.
La décentralisation peut être : dès le pouvoir national jusqu'aux états et les municipalités, qui est l'appel “territorial”, auquel se réfère l'article là-haut cité 185 de la Constitution; et la décentralisation de services, qui est du pouvoir central vers des êtres décentralisés, comme les Instituts Autonomes.
Mais la loi citée et le règlement ont redéfini le concept en général accepté “d'une décentralisation“ pour le substituer par l'autre le goût révolutionnaire. Selon la nouvelle définition, il consiste à transférer des concurrences des êtres territoriaux dans des êtres pas territoriaux les soi-disant Conseils Communs, des communautés ou d'autres organisations de base du “Pouvoir Populaire”.
DES DÉFINITIONS. Un règlement de par soi exorbitant, il s'enfonce dans les grands sujets de théorie constitutionnelle pour permettre établi, au-delà de toute discussion, ce qui est ce qui doit être compris par chacun d'eux, manu militari, avec voix de commandement.
Ainsi “le fédéralisme“ n'est pas une forme d'organisation du pouvoir politique territorial, inventé aux États-Unis de l'Amérique du Nord et tout de suite adopté par presque toute Amérique latine, depuis le Mexique en Patagonie, en passant par le Brésil et même la Venezuela, mais un peu très sui generis.
Au lieu d'une division territoriale du pouvoir, ce nouveau fédéralisme est basé en principe d'intégrité territoriale, économique et politique de la Nation, dans la coopération, la solidarité, l'assistance et la responsabilité solidaire entre des institutions de l'État et un peuple souverain, pour : la construction de la société socialiste!
Le nouveau fédéralisme obtiendra cette intention louable “grâce à la participation protagonique du peuple organisé dans les fonctions de gouvernement et dans l'administration des facteurs et demi de production de biens et de services de propriété sociale, comme garantie du plein exercice de la souveraineté populaire en face de toute tentative de l'oligarchie nationale et régionale de rassembler, de centraliser et de monopoliser le pouvoir politique et économique de la Nation et des régions” (sic).
De la même manière “une décentralisation“ n'est pas le concept mentionné up supra, dans ses modalités territoriales et des services, mais on traite de la “pleine restitution du pouvoir le Peuple Souverain”, grâce au transfert lent de concurrences et de services depuis les institutions vers les communautés organisées. Il consiste à atteindre la démocratie authentique “en restituant les capacités de gouvernement au peuple”.
“Transfert de concurrences” est un processus grâce auquel “les organismes territoriaux restituent le Peuple Souverain, les concurrences dans les matières établies à la loi, dans la concordance avec l'article 184 de la Constitution”.
Le petit détail consiste en ce que l'article 184 se réfère à la décentralisation “des services“ dans l'enceinte municipale, il ne parle pas pour rien de transférer “des concurrences“. Son enceinte est la Municipalité, non le Conseil Fédéral du Gouvernement, réglé dans l'article 185, qui se réfère à la décentralisation territoriale, non au transfert de services dont il parle 184 ou des concurrences auxquelles se réfère la loi.
Mais le plus grandiose est qu'entre ces “organismes un homme politique territoriales” qui doivent restituer des concurrences dans le Peuple Souverain, la République ne se trouve pas conformément à la même définition qui fait le règlement.
Dans la définition d'organismes un homme politique territoriales mentionne les États, les Municipalités et au District Métropolitain; mais non à la République, dès que le Pouvoir Central ne cède rien à personne, grâce à un appareil grossier de rédaction.
LE SOCIALISME. La Loi Organique du CFG trace comme mission fortifier le pouvoir populaire “en l'honneur de faciliter la transition vers le socialisme”. De manière que ne doive pas c'être étonné ce que le règlement répète 9 fois la même expression et même il essaie une définition de quel débit être compris par une chose semblable.
“Le socialisme est une manière de relations sociales de production pointée sur la vie en commun solidaire et la satisfaction des nécessités matérielles et intangibles de toute la société, qui a pour une base fondamentale la récupération de la valeur du travail comme producteur de biens et de services pour satisfaire les nécessités humaines et pour réussir la Felicidad Social Suprême.” De même, avec majuscules.
Pour obtenir cette merveille “, il est nécessaire, le développement de la propriété sociale sur les facteurs et demi basiques et stratégiques de production”.
Bien entendu qu'il semble superflu commencer à se demander porqué un règlement simple d'une loi commence à s'écouler entre des concepts philosophiques-politiques si rassasié discutables; mais c'est que ce n'est pas le règlement simple d'une loi, c'est un manifeste politique idéologique et pareil doit être interprété.
Il ne vaut pas la peine non plus d'analyser la consistance interne de cette définition, surtout dans comment il engrène la “vie en commun solidaire” avec la lutte de classes; si les nécessités “intangibles” ont quelque chose à voir avec la religion, qui est l'opium du peuple; ou si le bonheur suprême social a quelque chose à voir avec la satisfaction des individus, qui sont les choses uniques capables d'être heureux, parce que le bonheur “social” est quelque chose qui n'arrive pas à être vu; ou si “la pleine jouissance de ses droits économiques, sociaux, politiques et culturels” inclut aussi à la "bourgeoisie"; mais ce serait de prendre la question trop au sérieux.
Mieux essayons de voir dans quoi peut se traduire cela dans des termes pratiques, ce que rend aussi superflu abriter toute illusion en ce qui concerne une survie de la propriété privée et de droits individuels dans le schéma proposé.
Il s'oblige aux états et aux municipalités à présenter dans les quinze premiers jours de chaque année ses propositions de décentralisation et de transfert de concurrences dans les organisations de base “d'un Pouvoir Populaire”. Cette dévastation unie au développement de projets et de distribution de recours à travers des axes stratégiques et des districts moteurs de développement, il conduit dans la pratique à l'élimination de l'État Fédéral, pour le substituer par un régime absolu complètement centralisé, sans division territoriale du pouvoir.
Les systèmes de contrôle constitutionnel du pouvoir sont : les contrôles horizontaux que c'est la division chez un exécutif, législatif et judiciaire; et les contrôles verticaux que c'est la division dans la République, les États et les Municipalités.
Il est déjà public et notoire, le rejet du régime de la division des trois pleins pouvoirs publics, qui a été qualifiée comme un affaiblissement du pouvoir de l'exécutif; avec cette loi du Conseil Fédéral du Gouvernement et de son Règlement un homme politique on se jette sur l'autre forme de division (verticale) du pouvoir entre des régions - territoriales autonomes, en faveur du centralisme ouvertement totalitaire.
DES IDIOTISMES CUBAINS. À cette date il semble complètement anecdotique de souligner que le règlement prévoit la désignation d'une “Autorité Unique Distrital”, dans la direction de chaque District Moteur de Développement; ainsi que que ses fonctions leur seront assignées par le Président de la République dans le Décret de création du District respectif, avec ce que l'on n'exclut pas que chacun peut avoir les siennes particuliers, de l'avis du Commandant chez le Chef.
Le même serait de rappeler que les organisations de base du “Pouvoir Populaire” ne sont non plus choisies par personne, mais elles sont validées par le Ministère “avec la concurrence dans une participation citadine”, sans que l'on ne dise lequel est clairement, donc dans la pratique il pourrait être n'importe quel.
Il semble complètement évident que le système de légitimation du pouvoir au moyen du vote populaire est complètement aboli dans ce système. En revanche, la planification suit un ordre ascendant, depuis les conseils locaux, aux sergents de ville, estadales, régional et finalement des nationaux, en se souvenant dont tous ces plans “s'occupent à la vision de pays et à la direction stratégique contenue dans le Plan de développement Économique et Social de la Nation” qui est le plan dirigé au socialisme.
L'Est est, au calque, le système de l'État Soviétique régnant par soixante-dix ans en URSS et qui survit aujourd'hui seulement en Cuba. Non en vain la traduction littérale du russe en espagnol du mot “soviet” est “conseil“, ainsi que “une communauté“ est la racine du mot “le communisme“.
Finalement, comme pour que ne restent pas des doutes de quelle est la philosophie qui est dans le transfond de cette réglementation, il ne pouvait pas arrêter d'avoir sa trace militariste et demencial, pour ce que suffit un exemple. Il est établi que le Président pourra “dans le Conseil Révolutionnaire des Ministres”, créer, modifier, supprimer un ou plusieurs les Districts Moteurs de Développement, dont les limites “pourront coïncider ou non avec les limites territoriales des états, de municipalités ou de dépendance fédérale; dans son défaut (sic) ils (le) seront établis conformément au système de coordonnées géographiques ou à la Transversale Universelle de Mercator (U.T.M). ou en considérant les critères géographiques associés aux lignes de partage des eaux et aux cottes qui représentent les changements significatifs de boucle d'oreille qui donnent lieu à des unités de différent paysage”. Comprenez-le celui qui peut!
On peut passer le reste de vie en se demandant d'où est sorti ce Conseil "Révolutionnaire" des Ministres, et porqué ici il est pareil et dans tous les autres cas non; ou bien se distraire avec cela “dans son défaut” qui n'est pas connu de que; mais ce qui frise oui la boucle est l'U.T.M. que, disent ceux qui savent de cela, c'est un système de coordonnées géographiques créé par le corps d'ingénieurs de l'armée des États-Unis, universalizado aux forces armées alliées en 1940, pendant la Deuxième Guerre mondiale, pour surpasser les problèmes de calcul cartographique (sur des cartes plates) des troupes déployées sur terre et mer (il a légèrement espacé je courbe).
Quel carajo fait cela ici ?
Le Diable, ils disent ceux qui savent de cela, il laisse toujours la trace de son sabot, où il s'attend moins.
19/03/2010
Chávez et les pièges aux élections parlementaires
Marcos R. Une joue P.
Chávez et ses acolytes sont connus perdus dans les élections du 26 septembre (26S), il n'y a pas de doute. Les résultats vont aussi à irrespetar. C'est une autre certitude que tout débit démocrate remarquer. La supervision réalisée par tel Ramiro Valdez, préteur de l'empire cubain, et l'attitude désespérée de sa fiche principale en Venezuela (et le président, pour l'instant) sont assez de signes de la crainte la démocratie qu'ont les totalitaristas qui gouvernent aujourd'hui le pays. Mais, en plus de ces attitudes, des actions concrètes se sont aussi mises à réaliser pour commencer, depuis déjà, à transgresser le résultat des élections parlementaires.
Dimanche passé on a publié une nouvelle à laquelle l'importance due ne lui a pas été donnée. L'information se rendait compte dont l'AN serait déplacée par un soi-disant “parlement commun”. L'instance serait façonnée par des groupes enregistrés dans un soi-disant “Registre National d'Organisations Sociales” et fonctionnerait dans des espaces communautaires pour le débat parlementaire (¿ ?). Sa fonction serait celle de légiférer et approuver dans la première instance les textes qui se soumettraient à l'AN. Dans d'autres mots, le travail du Parlement National, elle serait subordonnée aux ordres des organisations précitées.
Presque parallèlement, dans l'une des attitudes les plus misérables de celles qu'il a eu des nouvelles dans notre histoire, les magistrats du TSJ sont provenus à lui octroyer une retraite dans la masse qui, selon des experts laboralistas, peut arriver à des montants de quelques millions de dollars par concept de prestations, plus son pensioncita respectif mensuel de plus de Bs. 50.000 - le montant qui servirait à pensionner plus de cinquante personnes. How laboure-t-il you Fidel ?
Au-delà de la démagogie grossière implicite dans la première situation et de l'effronterie de la deuxième, il doit faire remarquer une stratégie évidente pour vider de toute capacité d'action l'AN futur, comme il a est fait par la Plus grande Mairie et les gouvernements de Place haute, de Táchira et de Zulia. En effet, la fin fondamentale de ces deux mouvements est d'éliminer, en fait, l'AN. Avec l'invention du parlement commun l'AN se soumettra aux desseins d'organisations supposées sociales dont l'existence serait seulement possible à mesure qu'elles se trouvent enregistrées - et des subordonnées, un espace est - à un organe du gouvernement. Nous redoublons, le travail législatif des parlementaires futurs serait conditionné par les décisions de groupes pas élus démocratiquement, mais créés et définis par l'Exécutif et soumis à ses caprices.
D'un autre côté, étant donné que la nomination des magistrats du TSJ est une concurrence réservée constitutionnellement dans l'AN, ce qui succédera, comme conséquence de la résolution de la retraite dans une masse, il consistera en ce que les magistrats recourront à sa pension, ou l'actuel Parlement les remuera, avant les élections parlementaires. De cette façon on empêchera à l'Assemblée future nommer les magistrats respectables et indépendants qui peuvent mettre un frein aux abus le gouvernement et un TSJ encore plus abject et soumis sera garanti à Chávez, jusqu'au 2022, que l'actuel. Ainsi de facile.
Le chavismo se rétablit dans une santé : si son bureau électoral, le CNE, ne peut pas lui faire le plaisir complet, de l'époque les mesures nécessaires sont déjà prises pour que l'AN soit une coquille vide à partir de son renouvellement, puisque ne pourra pas légiférer ne nommer aux magistrats du TSJ. Dans d'autres mots, les deux pleins pouvoirs principaux ne pourront pas contrôler l'Exécutif National.
Chávez est un dictateur et il ne va pas jouer avec les règles de la démocratie. C'est un devoir de tous les démocrates en général et de la direction politique en particulier commencer depuis déjà à planifier comment s'affrontera la moquerie à la démocratie après les élections. Le premier qu'il faudra faire sera de voter massivement en faveur de la liberté. Il a aussi donné des résultats lui sortir au pas à temps à ce type d'abus. Également, il faudra continuer de travailler dans la création de consensus autour de la protection de la démocratie.
Il y a encore un temps, mais il faut lire la signification qui sous-gît après les faits pour pouvoir prévoir les pas qui se suivent pour l'abolition définitive de la démocratie, de la manière de pouvoir organiser des stratégies pour sa défense.
mrcarrillop@gmail.com
L'Universel
un vendredi 19 mars
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