Mais que l'on peut attendre, s'il ne lui a pas été suffisant de souiller la mémoire du prisonnier de conscience Orlando Zapata!, celui qu'il a nommé “délinquant de droit commun“ et jusqu'à “un terroriste“, pour que maintenant, le soi-disant Guillermo tu allies “Willy“ Tolède, a dit que “en Venezuela il n'y a pas d'assassinats politiques”, dans l'entretien que Luis Herrero lui faisait dans es. Un rayon de Libertad Digital. Je le dis parce qu'en étant de la type de gens habitués aux apologies des tyrans communistes et de ses crimes, ils regardent au mépris les dissidents, par cela il dénigre de l'existence de victimes, de prisonniers et poursuivis par des raisons politiques pendant le régime de Hugo Chávez. J'actualise 11:55. Il interviewe Marcel Granier et mention de cet article de la part de Javier Somalo dans le programme dans la Maison de Forgeron. J'annexe le vidéo
Mais les faits ne peuvent pas cacher, précisément, ceux qui réaffirment les violations des droits de l'homme dans mon pays, ils ont été récemment présentés dans un Rapport important de plus de 300 pages par la Cour Interaméricaine des Droits de l'homme :
“La CIDH vérifie un manque d'indépendance des pleins pouvoirs publics en Venezuela. Dans un rapport sur la situation des humains en Venezuela publié aujourd'hui, la CIDH affirme que l'intolérance politique, le manque d'indépendance des pleins pouvoirs de l'État, les restrictions à la liberté d'expression et à la protestation pacifique et à l'hostilildad vers les dissidents, ainsi que la violence et l'impunité, “limitent sérieusement la validité” des droits dans ce pays”.
Maintenant, c'est pour ressortir qu'il est dans un programme, dans un milieu pas moins de la droite où encore un subventionné de Cordonnier est pu s'exprimer, de ceux-ci que “des marionnettistes“ appellent, ceux-ci de ceux qui provoquent le sourcil circonflexe, dans prétendu à voir comment il lui fait par le rejet évident (duement) qu'il a été gagné de la part de l'opinion publique mondiale.
Qui distingue, avec les moyens gauches qui n'admettent pas l'opinion sur les autres, très especifícamente ici, ici aucun milieu de Chávez ne donne de couverture à une personne de l'opposition, un dissident, ou inclus, à un chavista qui diffère par quelques points avec le grand manitou, parce que tout de suite ils traitent sur cela d'un traître. S'ils te nomment ce serait pour te soumettre à la raillerie ou pour inciter de te tuer comme c'était mon cas :
“cette pseudojournaliste qui incendie avec son blog, l'espace de l'Internet. Elle est une imbécile qui veut renverser la révolution …”
“S'ils voient dans la rue Ce journaliste imbécile, tuez-la”
“s'ils la voient ne doutez pas de tirer, elle est hautement dangereuse : il a une rage”
Des faits
Opportun faire la relation de faits, lesquels il nous est interdit d'oublier et il faut rappeler ses crimes qu'ils savent que le pouvoir leur ne va pas durer toute la vie et que la justice arrive aux assassins. Nous le disons les Vénézuéliens que nous croyons à la liberté, que nous exigeons la vérité et la justice, que nous condamnons les tyrannies et au terrorisme.
Que du citadin espagnol, José Antonio Gamallo ?, assassiné d'un tir chez le chef, ils l'ont laissé avec animation végétatif, tout de suite il est mort, quand le jour du massacre nous accompagnait du 11 avril 2002, dans la marche grandiose pacifique de plus d'un million cuastroscientos mille personnes, dans son droit légitime à la protestation, et d'autres dizaines de personnes également qui ont été assassinées, d'autres blessures, vifs d'un miracle.
Que de Franklin Brito ? Ce monsieur qui a des mois dans une grève de la faim dans une réclame d'un droit de ses terres, qui a seulement des os et le régime l'a séquestré dans un hôpital et “l'Il a mentalement Interdit”.
Que de madame Maritza Ron ?, il passe les menottes d'un citadin espagnol résidant en Venezuela, un homme honorable, Ramón Torregrosa, comme elle l'a été son épouse, des tueurs l'ont lancé sans risque chavistas, et j'ai saisi tant les autres que je vais mettre en rapport, ou d'Evangelina Carrizo vilement assassiné par la Garde nationale, sans justice, ou celles-ci des milliers de personnes assassinés par la pègre, sous le royaume de l'impunité, elle vient d'arriver, la mort du directeur de 2001 quotidienne, comme si le fait de tuer était programme de l'état. Ou les détenus politiques, les poursuivis, les exilés.
Ce que cet homme Guillermo a dit de la Venezuela tu allies “Willy“ Tolède, les visiteurs peuvent l'écouter après avoir battu (est aussi annexe l'audio plus loin). Que “en Venezuela il n'y a pas d'assassinats politiques”: un homme va! que vous êtes dans la faction des complices.
Qu'est-ce que l'on peut penser à quelqu'un qui porte à la poitrine Ho Chi Minh ? Quand Luis Herrero l'est sorti à rebriller il lui a dit que “il n'est pas certain qu'Ho Chi Minh est un homme condamné pour génocide”. Pour lui il n'est pas génocide, celui qui a dans son crédit un million de morts.
Martha Colmenares
Il interviewe Marcel Granier et mention de cet article de la part de Javier Somalo dans le programme dans la Maison de Forgeron
Un vidéo Libertad Digital
Mis en rapport dans mon blog :
Un rapport de la Commission Interaméricaine de Droits de l'homme (CIDH) contre la Venezuela le Février 24, 2010
Une catégorie Détenus politiques
Une catégorie les Victimes
Des crimes P.
Evangelina C.
Maritza Rhum
Dans Facebook
Jésus M. Une capote
Juan Carlos Sanchez
Le 11er massacre
Dans le blog du Grupo11 : Nous voulons saaber”, lequel je représente
http://grupo11prohibidoolvidar.blogspot.com/
Une description de Libertad Digital
Le subventionné Willy Tolède nomme des terroristes et des délinquants les dissidents cubains
Willy Tolède : “Orlando Zapata n'était qu'un délinquant de droit commun” Guillermo “Alias” Willy Tolède
ÉCOUTEZ ICI L'ENTRETIEN
Face à face de Luis Herrero y Willy Toledo
Luis Herrero a traité dans son programme d'esRadio que l'acteur Willy Toledo rectifiait ses déclarations Orlando Zapata et la situation des détenus politiques cubains. Mais l'acteur ne met pas pied à terre et il s'est targué de son sectarisme. Écoutez ici le débat qu'ils ont maintenu.
Voir le vidéo
Willy Tolède : “Orlando Zapata n'était qu'un délinquant de droit commun”
Un vidéo : Willy Tolède : “Orlando Zapata n'était qu'un délinquant de droit commun” | les Dissidents cubains contre Willy Tolède
Un audio : Face à face entre Luis Herrero y Willy Toledo | La mère de Patin compte à esRadio la manipulation du Castro
Tolède : “Je me sens agressé”
Je borde aussi il répond à Tolède
2010-03-03
une liberté digitale
La partie en ce qui concerne la Venezuela :
“Malgré tout, Tolède elle n'a pas voulu arrêter d'appuyer la dictature cubaine sous le vieux recours d'essayer de comparer avec des pays démocratiques comme la Colombie, les États-Unis ou l'Espagne. Sous l'argument de ce qu'aucune nation n'est parfaite et dans toutes il s'est confié un type d'abus, l'acteur a cherchées à les comparer avec une dictature où l'abus est la norme. Il a mis comme exemple quelques fois “la Colombie, celle de monsieur Uribe, qui est le pays du monde avec le plus grand nombre de syndicalistes et des journalistes pris”. Demandé d'autres régimes qui appuient la dictature castrista, Willy Tolède a dit que “en Venezuela il n'y a pas d'assassinats politiques”, le même jour dans lequel était assassiné le directeur d'un journal critique avec le chavismo”.
Par les allusions de Luis Herrero le tee-shirt avec le visage de Ho Chi Minh qui a brillé à un gala des prix Goya, l'acteur a assuré que “il n'est pas certain qu'Ho Chi Minh est un homme condamné pour génocide”. Cependant, Le Livre noir du communisme fonde sur un million les morts au Viêt-Nam provoquées par le régime du tyran”.
Un vidéo Voie Libertad Digital :
L'acteur Willy Toledo a dit ce lundi que la majorité des “présumés dissidents” emprisonnés en Cuba “est terroriste”, et il a ajouté qu'Orlando Zapata “n'était qu'un délinquant de droit commun”.
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