Selon une description Libertad Digital “Cinquante policiers nationaux espagnols sont retenus dans des installations militaires vénézuéliennes après qu'ils leur refusaient la permission de vol. Des délinquants de droit commun espagnols étaient arrivés en Venezuela dans un avion militaire pour rapatrier. Les agents parlent “d'une colère politique” de Chávez”. Il est arrivé à de hautes heures de la nuit et que l'on a pu connaître, le Ministre d'Interores vénézuélien, Tarek Aissami, a exprimé que ces 18 Espagnols “termineront d'accomplir une condamnation dans son pays, sans offrir son identité ne donner plus d'explications”. Et on confirme qu'ils sortiraient de notre pays à 10 heures du matin. Par ce qui actualise la page de Globovisión dans ce moment 10:19 on a pu être connu que le vol militaire prévoyait son décollage à des heures du matin, mais pour “des motifs techniques” il a eu à être suspendu “par ce que l'on a décidé de déplacer les agents à une résidence militaire”. Les fontaines remarquent “qu'il s'agit d'un vol militaire, non d'une ligne régulière, donc les conditions requises aéronautiques et d'une navigation ils sont plus stricts”. J'informerai.
Des problèmes techniques retardent le rapatriement de 18 prisonniers depuis la Venezuela
18/03/2010 10:19:49 a.m.
Dix-huit Espagnols qui accomplissaient une condamnation en Venezuela par trafic de drogues seront rapatriés aux heures suivantes en Espagne, après qu'il était ajourné pour des motifs techniques, le vol militaire qui prévoyait décoller à des heures du matin.
Des fontaines policières ont informé Efe de que les cinquante policiers espagnols-47 de l'Unité d'Intervention Policière (UIP) et trois d'Interpol - chargés de garder les reclus dans le vol de rapatriement, restent dans une résidence militaire près du Caracas.
Les fontaines ont expliqué que l'avion prévoyait décoller dans l'aube, mais la sortie a été en retard même 10:00 heure AM par ce que l'on a décidé de déplacer les agents à une résidence militaire.
Apparemment, selon cette information, il n'a pas été possible de préparer l'avion à l'heure prévue de sortie, donc le plan de vol présenté par l'équipage a expiré et a été nécessaire de disposer de nouveau l'un.
Les fontaines ont rappelé qu'il s'agit d'un vol militaire, non d'une ligne régulière, donc les conditions requises aéronautiques et d'une navigation ils sont plus stricts.
Le ministre de l'Intérieur vénézuélien et la Justice, Tarek Aissami, sera présent dans un acte dans lequel on procédera au rapatriement dans l'aéroport international de Maiquetía, à environ 30 kilomètres du Caracas, jeudi le matin.
Globovisión
“UNE COLÈRE POLITIQUE DE HUGO CHÁVEZ”
La Venezuela retient 50 policiers espagnols que des délinquants rapatriaient
Cinquante policiers nationaux espagnols sont retenus dans des installations militaires vénézuéliennes après qu'ils leur refusaient la permission de vol. Des délinquants de droit commun espagnols étaient arrivés en Venezuela dans un avion militaire pour rapatrier. Les agents parlent “d'une colère politique” de Chávez.
2010-03-18
UNE LIBERTÉ DIGITALE
Les autorités vénézuéliennes ont retenu le vol dans lequel devaient tourner l'Espagne 36 femmes-policiers nationales qui gardaient le rapatriement de délinquants espagnols. Comme a pu savoir Libertad Digital, ils devaient sortir dans un vol militaire qui avait toutes les permissions dans une règle.
Cependant, dans le moment dans lequel les pílotos espagnols allaient entreprendre le vol, conformément au plan établi, la Venezuela a refusé l'autorisation en alléguant une série de raisons techniques. La Confédération Espagnole de Police, qui est dans un contact avec les agents retenus, a confirmé à ce journal que les policiers, appartenant à la Police Judiciaire et à l'unité d'antitroubles, ont été déplacés à quelques installations militaires où ils attendent dans quelques baraques qu'il leur est permis de tourner l'Espagne. Il semble que cette permission pourrait se donner à 14:00 heure, selon l'horaire national.
Dans ce sens, les policiers sont très ennuyeux avec cette situation et considèrent que cette décision s'est produite gráce à “une colère politique” du Gouvernement de Hugo Chávez devant l'auto de l'Audience Nationale qui accuse en Venezuela de collaborer avec ETA et les FARC. Ainsi, ils croient que sous le prétexte des problèmes techniques ils cherchent à rendre sa colère évidente par les critiques à Venezula. Bien qu'ils affirment qu'ils se trouvent bien, ils ont ses mouvements restreints après avoir été dans des installations militaires.
Des fontaines d'Extérieurs consultées par esRadio ont dit que c'est encore une “provocation du Caracas et pointe à une détérioration des relations entre l'Espagne et la Venezuela”.
Dans ce moment, les téléphones des policiers sont éteints par ce que l'inquiétude passe parce qu'ou bien ils ont des problèmes pour comuncarse ou parce qu'ils pouvaient dormir, puisque maintenant c'est une aube en Venezuela. Par cela, depuis la CEP ils ont demandé à l'Exécutif qu'il met en action avec la “maxime de faire les démarches nécessaires pour obtenir” pour résoudre la situation. De plus, ils ajoutent que l'incident est plus inquiétant gráce aux peu de “garanties juridiques”, selon la CEP, qui existent en Venezuela.
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