Mon article dans Diariio de l'Amérique, le Dieu sauve l'Amérique du Dilma Rousseff :
Dans une alerte ceux qui nous sommes par la vie, la candidate oficialista Dilma Rousseff, la candidate pas seulement de Lula mais de Hugo Chávez aussi, cherche à légaliser l'avortement. Par fortune, au chagrin que la date de son lancement n'est pas encore prévue comme candidat, le José Serrá adversaire et social-démocrate, le gouverneur de Sao Paulo est à la tête des sondages d'opinion avec un avantage relatif, 36 pour cent, contre 25 % de son contendora Dilma.
Bien que quelques moyens de la tendance internationale, ainsi que tous ceux-ci qui croient encore aux histoires de la Lula il attrape imprudents, les si pusillanimes que des démocrates autodénomment et bien sûr je les châtre des communistes, depuis ils commencent à la signaler déjà comme le successeur du mandataire du Brésil, Lula donne l'Ébauche, à l'occasion des élections présidentielles du 3 octobre suivant.
Le chef de son cabinet et la protégée, la candidate du parti des travailleurs (PT), l'ex-guérillero et impliquée dans une séquestration il y a quelques années, mieux connue par alias de Wanda, de Sillage, de Luiza et Patricienne dans son époque de membre des groupes subversifs l'Avant-garde Populaire et la Marine de guerre Révolutionnaire “des Palmeraies“.
Il vaut de souligner que l'acte de proclamation de l'aspirante à la présidente, a été réalisé vendredi passé, 19 février 2010.
Dans le cas de l'économiste José Serrá, du Parti de la Démocratie Sociale Brésilienne (PSDB), il se maintient comme favori. Son commando de campagne estime que les préférences de l'électorat lui sont favorables, l'intention augmentera quand arrivera sa quête, parce qu'il a une plus grande expérience, une trajectoire prouvée, à la différence de la nouvelle Dilma, en dehors de son passé guerrier, connue à son autoritarisme, avec une proposition de gouvernement essentiellement gauchiste, avec ses coups populistes, dans lequel prévaudra le rôle des entreprises étatiques au-dessus du secteur privé, l'hausse des impôts aux grands capitaux.
Et sans de plus grande habileté que celle de savoir se réfugier dans Lula (qui surenchérit et surenchérit pour qu'il gagne) malgré la popularité de celui-ci qui lui sera difficile de capitaliser la Rousseff. Les gens en tout cas, il ne reconnaît pas dans elle de capacité de donner une continuité à la gestion - lula, ni à son art de savoir marcher avec le masque, beaucoup moins il ni dispose de son "charisme".
Sans que, il soit perdu d'une vue, son appui à la légalisation de l'avortement, dans un pays avec une majorité catholique.
Très intéressant ce que Reinaldo Azevedo pose dans son portail : “Dilma Rousseff já é à une candidate do PT donne la République à Presidência. Com un discours, citações poétiques — disproportionnées, dit-il (fica pour outro post) — promessa de novas des aurores et, comme não poderia deixar, d'être, exaltação tu donnes des conquêtes de Lula. Oki. Isso tudo é part do jogo. À fala de Dilma (intégrale ici) reforça à mistificação dont não havia un pays avant Lula : il paraît qu'ou le Brésil começou em 2003 ″.
Le déploiement de qualificatifs a déjà commencé contre José Serrá, qui si le candidat de la droite, que si celui de l'oligarchie que si celui des intérêts du capitalisme ou de l'"empire", un slogan pur parce qu'au Brésil des cela fait déjà années qu'il n'y a pas que l'on peut appeler une droite, plutôt a créé, l'inquiétant pour je châtre chavistas serait celui qui arrivait à démonter le bloc complaisant que ceux de l'Aube maintiennent, une réunion d'alliez-vous des tyrans dans la région et de plus loin aussi, je marie Ahmadinejad, dans lequel Lula donne l'Ébauche a eu un papier prépondérant.
À la fin de l'année passée il publiait dans mon blog un article qu'il mentionnait que “Lula n'est pas aucun modéré, comme il simule. S'il n'a pas mis en application à fond les idées qu'il a annoncées par des décennies, il est parce que le Brésil est plus grand que Lula … Votre Chef de Cabinet, une conseillère aimée, et un dauphin pour les proches élections, Dilma Rousseff, il est d'une couleur rouge profonde …”
Le mandataire responsable de favoriser la rencontre des communistes déplacés par la chute du mur de Berlin de la main du tyran Fidel Castro, pour les réunir dans le Forum de Sao Paolo. Par quelque chose l'apogée de groupes déstabilisateurs est notoire dans le continent. Ce qui ne sera pas ni est étranger pour Dilma.
Pour se souvenir, Lula lui disait : “Te souviens-tu, Fidel, quand nous parlons du Forum de Sao Paulo, et tu m'as dit qu'était nécessaire l'unité de la gauche latino-américaine pour garantir notre progrès ?
Ils ont besoin fortifier cette unité, l'inamovibilité, par un peu Hugo Chávez dans son programme Aló Presidente 352, il a applaudi la quête de Dilma. Préalablement, à la fin de l'année passée il l'a fait, quand il a exprimé qu'il lui disait son "coeur" qui allait gagner. “Ce nom est bon que nous allions en le prononçant, en le répétant, et depuis ici en surenchérissant pour que Dilma Rousseff soit la proche présidente du Brésil. Dilma, Dilma, Dilma”.
"en" "surenchérissant" ? un pétrole vénézuélien me sonne à une ingérence, à un financement …. Il suffit déjà le jeu des pierres chavismo dans le continent, c'est pourquoi le Dieu sauve l'Amérique de la Rousseff, de plus, la femme qui proclame l'assassinat d'infants.
Martha Colmenares
26/02/2010
Un quotidien de l'Amérique
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